Bronze blanc les problèmes continuent

j'ai vraiment  un problème avec la cuisson du bronze blanc depuis quelques mois alors que jusqu'ici  je n'en avais pas  sauf une varicelle de temps en temps mais rarement ,  l le cuivre et le bronze doré sèchent en  même temps sont  deliantés en même temps et cuisent sans problèmes a la temperature voulue. le cuivre au m40 le doré dans mon four  naber  . je crois que si  le sèchage et le déliantage n'étaient pas bons  le doré et le cuivre rateraient aussi  
 en revanche le blanc cuit très mal, je n'ai plus de varicelle  mais il ne cuit pas assez, ne se rétracte pas et ne sonne pas metallique
j'ai du  recuire 1 fois  les les éléments plats peu épais    en les laissant  20 minutes au lieu de  19 elles sont maintenant parfaites .  Mais une bague est sortie pas assez  cuite  avec beaucoup de  fissures que j'ai comblées et cela fait  3 fois que je la recuis en augmentant le temps de cuisson La bague  a des épaisseurs et quand elle cuit comme elle est assez haute je suis obligée  de l'enfouir un peu plus

et ce n'est pas la première que je fais . c'est un vieux modèle et j'en ai fait beaucoup
mon dernier mélange était très mou donc    je pense un peu trop humide, peut être que cette humidité a créé des tensions lors de la cuisson
là la bague est dans le m40 je la sortirai  au bout de  20.5 mn je croise les doigts
je suis sure que ce n'est pas de la faute de la pate alors je me pose des questions
un conseil  ?

La recette du bronze blanc n'a pas changé. Comme tu le penses, un peu trop d'eau dans le mélange pourrait peut-être expliquer ces différences, surtout avec l'humidité ambiante très importante sur ta presqu'île !
Le déliantage étant une phase extrêmement critique pour le bronze blanc, moins il y a d'eau et mieux on se porte. Parfois aussi, il suffit de mettre un objet à un endroit un peu différent sur la grille de déliantage et à la cuisson, on voit la différence.
Concernant la température de cuisson, chaque minute compte, et là aussi, la position dans le conteneur est déterminante. Dans une même fournée, si on fait trois épaisseurs d'objet, on peut avoir du sous-cuit en dessous, du bien cuit au milieu et du surcuit en hauteur...
Le bronze blanc ne se laisse pas faire, mais il est si beau quand il livre le meilleur de lui-même qu'il est plus facile d'accepter ses inévitables caprices... Bon, j'avoue qu'après avoir travaillé cette pâte presque exclusivement pendant des années, j'ai eu plaisir à basculer plus récemment dans la fiabilité ultime de la pâte de cuivre !